Chaque jour, des expériences scientifiques ont lieu partout dans le monde. Le meilleur moyen pour accéder à toute cette connaissance est de disposer d’un outil comme Google scholar. Google scholar est un moteur de recherche qui permet de trouver des réponses sur n’importe quel problème d’ordre scientifique. Découvrez donc 15 faits intéressants sur Google scholar.
15. Il est possible d’en savoir plus sur les auteurs
Certaines personnes au naturel curieux peuvent avoir envie de mieux connaitre ceux dont les travaux ont été publiés. Contrairement aux autres moteurs de recherche, Google scholar possède une fonctionnalité qui permet de le faire. Vous pouvez tout simplement consulter les profils scholar de ces auteurs.
Pour accéder au profil, il suffit de trouver le nom auquel est attaché un hyperlien dans le résultat de votre recherche. Ensuite, cliquez sur ce nom, vous serez directement redirigé vers le profil principal. De là, vous aurez accès à toute la bibliographie et les articles où il est cité. Vous aurez aussi tous les coauteurs. Il y a également la possibilité de suivre un auteur par le biais de son profil Google scholar.
14. Le fonctionnement de Google scholar
Google représente aujourd’hui un écosystème complet. Au départ, Google est un simple moteur de recherche généraliste, la marque a évolué et créé d’autres produits comme Google docs ou Gmail. De tous les moteurs de recherche spécialisés, scholar est surement le plus efficace. Il agit selon le même fonctionnement que Google.
Pour rechercher quelque chose sur scholar, il faut insérer des mots clés dans la zone de recherche. S’il s’agit d’une citation ou d’une expression exacte, on les écrit entre guillemets. Le moteur de recherche prend en compte absolument tous les mots clés et fait ressortir les articles qui les contiennent. Cependant, il faudra payer pour accéder à certains articles.
13. Les utilités de Google scholar
À l’aide de mots-clés, Google scholar cible les sources académiques pour répondre aux recherches. Les thèses de doctorats et les périodiques provenant des universités, des sociétés savantes et des éditeurs commerciaux sont les plus visés. Il est très utile pour trouver des revues en français mais aussi pour faire ressortir les articles écrits sous le format PDF.
En vue de donner des résultats satisfaisants à ses utilisateurs, il recherche au sein même des textes dont sont tirés les articles. Cependant, lorsqu’une recherche est effectuée, elle n’est pas insérée dans la base de données de scholar. Dès sa conception, on y a inclut du contenu qui lui est exclusif et donc pas disponible gratuitement sur scholar.
12. Les avantages de l’utilisation de Google scholar
Il existe plusieurs avantages à utiliser Google scholar pour effectuer des recherches. D’abord, c’est un outil gratuit et simple d’utilisation. Vous pouvez vous rendre sur Google scholar pour faire des recherches autant de fois que vous le désirez sans rien payer à l’entreprise. Vous n’avez pas non plus à regarder une dizaine de vidéos sur YouTube pour comprendre comment ça fonctionne.
Nul besoin de parcourir tout l’index pour retrouver les résultats de vos anciennes recherches. Google scholar est doté d’un outil de recherche avec le filtrage selon les dates désirées. De plus, Il permet de faire des recherches spécifiques et d’avoir des résultats ciblés. Vous pouvez également consulter des documents inaccessibles sur Google mais aussi trouver le nombre de fois qu’un article a été cité.
11. Les inconvénients de Google scholar
Malgré les avantages que présentent son utilisation, les recherches effectuées sur Google scholar ne sont pas toujours optimales. La première chose qu’on remarque est que tous les articles sont écrits en français. Aucune référence, aucune allusion faite aux écrits en langue anglaise ou espagnole. C’est à croire qu’il a été créé uniquement pour les ressortissants francophones. On ne peut non plus consulter la traduction française desdits documents.
Ensuite, Google scholar ne dispose pas d’index. Ce sont les données qui ont été entrées au cours de sa création qui y sont toujours en majorité. Tous les liens qui redirigent les lecteurs vers la version intégrale d’un article n’ont pas forcément été acquis légalement. Les utilisateurs peuvent donc se retrouver à tout moment sous le coup d’une action en justice. Enfin, on ne peut pas effectuer des recherches sur tous les thèmes. Certains n’ont pas été pris en compte lors de la création de scholar. Et les textes déjà existants ne sont pas tous structurés rendant la compréhension difficile.
10. Les outils scholar sont accessibles partout sur le net
Google Scholar est un navigateur autonome qui dispose de fonctionnalités lui permettant d’être accessible aux utilisateurs. L’une de ces fonctionnalités est la possession de scholar Button. Scholar Button est une extension de navigateur appartenant à Google scholar. Fixée sur le navigateur, elle est présente quel que soit le site que vous parcourez.
C’est un peu une version réduite de scholar. En cliquant sur l’extension, vous pouvez avoir des documents concernant n’importe quel sujet recherché. Vous avez également la possibilité d’enregistrer dans votre bibliothèque scholar des résultats déjà consultés. De même, vous pouvez retrouver des versions de recherches auparavant effectuées.
9. La création d’un profil Google scholar
L’utilisation de Google scholar peut être optimisée en créant un compte. Cela vous permettra d’avoir accès à une plus vaste banque de données. La création d’un compte ne nécessite que votre compte Gmail et votre nom. Il y a des étapes à respecter pour faire valider votre compte. D’abord, rendez-vous sur Google et tapez « Google scholar ».
Une page de connexion s’affichera dans votre navigateur. Appuyez sur « connexion » et attendez. Une nouvelle page s’affichera et il vous sera demandé de saisir votre adresse Gmail ainsi qu’un mot de passe. Après avoir validé cette étape, cliquez sur les trois traits situés en haut dans l’angle gauche. Vous verrez une liste d’options. Choisissez « Mon profil » et remplissez la page avec vos informations puis validez. Le nom que vous devez saisir est celui qu’on voit dans vos articles, votre nom d’auteur
8. Google et Google scholar sont différents l’un de l’autre
Plus haut, on a dit que Google et Google scholar fonctionnaient selon le même principe. C’est en vérité le seul point commun qu’ils aient. Les recherches sur Google trouvent leurs réponses dans les documents scientifiques, dans les films, les séries et les bandes dessinées. Elles se trouvent dans toutes les sources d’apprentissage existantes. Google scholar limite les résultats qu’il donne aux documents et revues scientifiques. Tout ce qui sort de ce cadre n’a pas de réponse sur scholar.
7. L’histoire derrière la création de Google scholar
On doit la création de Google schola à Alex Verstak et Anurag Acharya. L’idée leur est venue au cours d’une discussion, lors de la mise en place de l’index de Google. Tous deux ont pensé qu’en apportant des réponses scientifiques aux problèmes, les soucis des gens serait réglés 10 % plus efficacement. C’est de cet objectif que découle la citation qui constitue le slogan de Google scholar. « Stand the shoulders of giants » rester sur les épaules des géants, cela signifie qu’il faut s’inspirer des plus forts pour aller de l’avant.
6. L’importance de Google scholar
Les premiers pas posés dans le monde scientifique se sont faits en Mésopotamie. Avec l’avènement de la crise du covid-19 en 2020, les recherches scientifiques sont devenues cruciales. L’étude du virus a permis de déterminer certains de ses modes de transmission. On a également pu dénicher des vaccins à administrer aux populations pour les protéger du mal.
Enfants ou adultes, tous ont été sur le qui-vive toute l’année. Chaque jour, les gens naviguent sur internet à la recherche d’informations concernant la provenance du virus. Certains ont même, faute de connaissances, essayé divers remèdes lors qu’ils avaient l’impression d’avoir des symptômes de la maladie. C’est dans ces cas que les plateformes comme Google scholar sont indispensables. En expliquant aux gens les symptômes, les précautions à prendre pour être épargnés, on sauve des vies.
5. Le H-index sur Google scholar
Encore appelé nombre de Hirsch ou indice de Hirsch, le H-index constitue le nombre d’articles écrits par un auteur ainsi que le nombre de fois où celui-ci a été cité. Pour être valable, chacun des articles de l’auteur doit être cité plus de fois qu’il n’a écrit d’article. Pour avoir un indice H, il est important d’avoir un compte Gmail.
Sur Google scholar, l’indice H est mesuré par le biais de Google scholar citations. Ce dernier permet d’observer la croissance du nombre de fois où chaque article a été cité. L’auteur n’a besoin que de ses coordonnées Gmail pour avoir accès à son espace h-index. Le calcul de l’H-index est effectué par les bases de données contenant les bibliographies. Augmenter son H-index n’est pas vraiment compliqué. Il suffit de publier régulièrement des articles dont les contenus sont assez populaires.
4. On peut consulter les avis juridiques grâce à scholar
Même s’il ne prend pas en compte toutes les données relatives à un domaine, scholar peut donner des résultats satisfaisants aux recherches. Plusieurs rubriques aussi bien scientifiques que littéraires y sont disponibles. Vous pouvez par exemple consulter les rubriques juridiques.
Google scholar contient une grande partie des avis rendus par les tribunaux américains. Ainsi, vous pouvez vous servir du bouton « jurisprudence » pour lire ces avis. Le bouton est situé au niveau du champ de recherche. Lorsque vous y appuyez, vous verrez toutes les affaires dont le rapport contient vos mots clés. Vous avez même la capacité de voir un résumé de la résolution des affaires ainsi que les diverses opinions qu’elles ont suscité.
3. Ce qui fait la particularité de Google scholar
Google scholar est un moteur de recherche assez différent des autres. Il permet d’avoir accès à une panoplie de ressources dans les différents domaines. Cependant, ce n’est pas ce qui le distingue de Google, bing et les autres. Google scholar publie les études et travaux que ceux-ci soient approuvés par un comité de lecture ou non. Cet état de chose touche aussi bien les citations que les livres ou les thèses de doctorat.
2. Les limites à l’utilisation de Google scholar
Google scholar n’a rien à envier aux moteurs de recherche. C’est en tout cas ce que pensent certains spécialistes. Cependant, des chercheurs trouvent que certaines informations données par le moteur de recherche sont inadéquates. D’autres encore trouvent que les informations diffusées ne sont pas mises à jour régulièrement. De plus, certains domaines comme les sciences humaines et l’art bénéficient de moins de couvertures que la philosophie et les physiques par exemple.
Ensuite, la publication d’articles non conformes aux règles fait que la plateforme n’est pas prise au sérieux par les chercheurs. La liste présentant les différentes revues consultées n’est non plus publiée. Enfin, même si pour une recherche le nombre de résultats trouvés dépasse le million, seuls les milles premiers peuvent être consultés. En plus, les textes ne sont pas affichés intégralement. Pour avoir accès à la version intégrale, il faut soit être abonné à une bibliothèque partenaire, soit avoir le lien illégalement.
1. La présence d’une rubrique d’aide supplémentaire
Sur la page principale destinée à aider les utilisateurs se trouve une rubrique qui apporte une aide supplémentaire. Il existe un grand nombre d’informations à décrypter. Trouver comment formater les recherches ou encore quand effectuer les mises à jour de la base de données, seul n’est pas aisé. Sur la page d’accueil de scholar, se trouve également une maxime dont nombreux ne comprennent pas le sens. Vous pouvez donc bénéficier de cette rubrique pour avoir des réponses à vos questions relatives au moteur de recherche.