188628700_m

Top 15 des faits insolites sur le recrutement

Pour leur fonctionnement, les entreprises ont besoin de mains-d’œuvre très performantes. À la recherche de cette efficacité et de ce dynamisme au travail, elles ont mis en place des systèmes de recrutement. Mais, ces embauches ne déroulent pas toujours comme prévu. Découvrez dans cet article 15 faits insolites sur le recrutement.

15. Un recrutement en 19 secondes 

Nous sommes en 2016, un magasin a lancé un recrutement auquel les candidats devraient postuler en 19 secondes. C’était dans le dix-neuvième arrondissement de Paris en France. Une course à la montre était organisée par Décathlon pour embaucher son personnel. L’entreprise était à la recherche d’employés dynamiques pour sa nouvelle structure dans la ville française. En sueur, très peu de candidats avaient pu déposer leur dossier. C’était un coup de génie de la part de la boutique de vente des accessoires de sport.

14. Le recrutement à la BTH

Financé par l’État suédois, Blekinge Institute of Technology compte deux campus avec cinq mille neuf cents étudiants environ. C’est un grand institut public qui offre 30 programmes d’enseignement. Il choisit lui-même ses étudiants en tenant compte de leurs compétences. À un moment donné, l’école fera recours à une méthode hors du commun pour recruter de nouveaux étudiants. Elle envoya des pièces détachées de téléphones portables aux différents candidats pour qu’ils l’assemblent.

Ceux qui y parvenaient recevaient un message de reconnaissance de leur niveau de génie suivi d’un numéro de renseignements. Il s’agissait du numéro BTH. 0455385040 qu’ils devraient appeler pour plus d’informations. C’était très classe comme système de recrutement.

13. Le recrutement des stagiaires chez Lost Boys

Lost Boys est une agence publicitaire qui a fait preuve d’une grande créativité pour le recrutement de ses stagiaires en 2015. Il s’agit de l’embauche par rébus. Cette méthode s’adresse surtout aux amoureux des énigmes avec une meilleure culture publicitaire axée sur le digital. Dans des emojis, l’agence avait crypté des mails relatifs à certaines publicités légendaires. Chaque candidat avait droit à cinq suites de dessins à analyser. Ceux qui réussissaient recevaient des messages de l’employeur en retour.

12. Le mode de recrutement de Python lambda function list comprehension

C’était un recrutement des meilleurs informaticiens. Pour y accéder, les postulants devraient taper le nom complet de l’entreprise sur Google. C’est après cette étape que « ‘Python lambda function list comprehension »” leur envoie d’abord un écran scindé en deux, ensuite des jeux. Plus intéressant, il ne s’agissait pas de simples divertissements. Ils représentaient des épreuves pour les candidats. Chaque candidat devrait réussir à traverser 5 étapes avec une durée de 48 h par phase.

Fait étonnant, c’est après avoir gagné aux jeux vous pouvez faire les prises de contact. Ah ! Oui, les réussir ne signifiait pas être embauché, c’était juste la première phase du recrutement.

11. Le Duel Candidat-GRH

Le gestionnaire des ressources humaines est souvent un très grand atout pour le recrutement du personnel. L’entreprise qui a un très bon GRH aura une bonne main-d’œuvre. Dans cette logique, “‘Upperlife »’ a fait recours au modèle d’embauche Pokémon. Il s’agira d’une confrontation entre responsable du personnel et candidats. Le postulant qui remportera son duel sera le bienvenu dans la société. Pour les aider à avoir une idée réelle de ce qu’elle veut, ‘‘Upperlife »’ a produit une vidéo de mise en scène.

10. L’embauche par Réalité Virtuelle

Ubisoft est une grande entreprise bretonne spécialisée dans les jeux vidéo. Créée par cinq frères en 1986, elle fera recours à la Réalité Virtuelle pour recruter ses employés. L’établissement se remettait à la technologie pour faire découvrir ses locaux aux postulants. Elle le faisait dans le but de susciter en eux l’envie de tout donner pour la rejoindre. On était en deux mille seize quand la société avait utilisé une telle méthode d’embauche. Avec ses grandes installations, elle faisait rêver les candidats.

9. La méthode de recrutement de Elcimaï            

Dans une entreprise l’entente du personnel est très importante dans l’atteinte des objectifs fixés. Et pour y arriver, chaque employé doit savoir travailler en équipe, pratiquer la tolérance et la compréhension mutuelle. La directrice des ressources humaines dans cette optique a soumis les candidats à une série d’épreuves en groupe. Seul le candidat à forte personnalité et esprit de corps sera sélectionné au poste disponible. C’était à Elcimaï, une société d’ingénierie, du numérique, du bâtiment et de l’environnement.

Elle doit son nom à ‘le Cimaï’, un site d’escalade présent dans le Var.

8. Le faux recrutement

Pépite de Paris Saint-Germain, Rafael Fernandes a été confondu à un supporter toulousain. On était en juillet 2022 quand Lucas Fernandez s’est rendu dans les installations de Toulouse avec son ami lors des vacances. Un agent du club les autorisa à visiter autant qu’ils veulent en étant bien sages. Ayant payé le maillot de l’équipe, ils se sont pris en photos comme lors des présentations des joueurs après signature. Après avoir posté leurs photos sur Instagram, plusieurs supporters parisiens et toulousains y avaient réagi.

Lucas, le fan de Toulouse ressemblait parfaitement à Rafael et portait le nom Fernandez aussi. Rafael même se demandait comment il aurait pu signer dans un autre club sans le savoir. C’était un véritable mystère jusqu’à l’intervention du magazine EQUIPE, qui s’est chargé d’élucider l’affaire et de dissiper les inquiétudes. Rafael prolongera son aventure parisienne et mettra définitivement fin aux doutes.

7. La question de Bain & Co

Lors des entretiens, les candidats font face à un nombre important d’interrogations auxquels ils doivent répondre. Ces questions concernent souvent l’emploi auquel ils postulent. Mais lors de certaines séances d’embauches, tout ne se passe pas comme prévu. Les recruteurs soumettent le postulant à certaines épreuves qui dépassent l’entendement. C’est le cas d’une séance d’entretien de Bain & Company aux États-Unis. Il était demandé au candidat de donner un nombre approximatif des fenêtres présentes à New York.

Mais comment faire face à ces genres de questions ?  Il faut juste faire emballer le recruteur dans l’imaginaire. Le candidat peut se reposer sur un nombre d’habitants de la région au hasard. Considérer qu’il y a au moins deux personnes par logement et que chaque maison a trois fenêtres, ainsi de suite. La qualité de vos réponses ne compte pas vraiment. L’employeur veut juste évaluer votre capacité à ne pas rester statique face aux situations. Bien sûr que, oui, les entreprises ont aussi besoin d’un personnel créatif et innovant.

6. Attention aux questions pièges

Au cours des entretiens, certains employeurs font parfois recours à des questions pièges. Il peut aborder, en pleine discussion avec le candidat, un sujet polémique qui n’a rien à voir avec leur domaine. Un débat fanatique comme la star que vous préférez entre telle et telle personne. La meilleure religion selon vous ou le politique que vous aimez le plus sont des interrogations à fuir. Alors dans ces situations, vous devriez faire très attention. Vous pouviez répondre à l’employeur qu’avec tout le respect que vous lui devez, ce sujet ne fera pas évoluer l’entreprise.

Ajoutez que vous êtes là pour apporter un plus à leur société et qu’elle sera le centre de vos préoccupations. Faites-lui savoir que vous ne pouvez pas quand même laisser son travail pour mener ces genres de débats. Il sera sidéré par vous et vous gagnerez beaucoup plus son attention. Mais, soyez surtout vigilants. Quand il s’agit d’un sujet polémique de leur domaine d’activités, donnez votre avis comme il le faut. Soyez détendus et avancez de bons arguments.

5. Les candidats fantômes

Plusieurs candidats manifestent leurs intérêts, une fois que les avis de recrutement sont lancés. Mais il y a de ces postulants qui ne se présentent jamais aux séances d’entretien après leur présélection. Si certains ont des raisons valables, d’autres présentent des excuses inimaginables. C’est le cas par exemple d’un fantôme de ‘‘La Cense »’, Lambersart. En effet, il notifia à l’entreprise qu’il était absent à cause de ses chaussures perdues.

4. Des candidats qui ne se dérangent pas

Parmi ceux qui se présentent aux séances d’entretien figurent ceux-là qui ne savent pas vraiment ce qu’ils veulent. Pourquoi se présenter à un entretien si on ne veut pas vraiment du boulot. Ou vous vous demandez carrément si on les avait obligés à venir. On les appelle les sans-gêne. Ils s’identifient à travers leurs comportements et leurs actes peu recommandables. Ils montrent parfois qu’ils sont déjà trop aisés et n’ont pas besoin de votre travail. À Gaïa, Narbonne, un candidat se présente pour passer un entretien.

Le personnel présent lui a dit de se patienter un peu pour être reçu par le patron. À sa grande surprise, ce postulant commanda une bière dans un bar de la place. Le candidat avec casquette ou celui portant des lunettes de soleil chez ‘‘Le Coupe-chou’ à Paris représentent également des exemples palpables. Vous voulez être recruté dans une entreprise ? Soyez très exemplaire.

3. Les postulants irresponsables ou immatures

À les voir, à les lire ou à les écouter, vous savez qu’ils ne sont pas prêts à travailler. Ce sont ces gens de candidats qui viennent avec leurs parents aux séances d’entretien. Lors de son entretien à l’Auberge de la Venise verte à Arçais, il se présente au recruteur avec sa maman. C’est une très grande erreur qu’il ne faut pas commettre quand on veut d’un emploi. Les recruteurs vous voient systématiquement comme un bébé à qui on tient les mains. Et personne ne peut confier son entreprise à un enfant.

2. Les employés émotifs

C’est vrai, il faut être émotif et c’est tout à fait humain. Mais l’émotion ne se mêle pas au travail. En pleine journée d’essayage à ‘‘La table de Sam à Lille »’, un nouveau chef se blesse légèrement. Il commence par paniquer et disait sans cesse à son patron qu’il allait mourir puisqu’il ne s’était pas vacciné contre tétanos. Faites beaucoup attention aux émotions. Elles sont humaines, certes, il faut savoir les contrôler. Autrement, vous passerez pour un pleurnichard et les recruteurs détestent cela.

1. Les gaffes des recruteurs

Ah ! Oui, on ne se limitera seulement aux erreurs des postulants ou employés, les employeurs ont aussi pour eux. En tant que chargé d’entretien, il y a des comportements à éviter au maximum. C’est une erreur de se fier parfois à la première impression, car elle n’est pas toujours la bonne. Ceux qui prennent cinq à six minutes pour choisir leurs employés sont donc avertis. Aussi, le recruteur ne doit pas projeter sur le candidat. En étant fan de la même équipe de football par exemple, l’employeur peut totalement se laisser faire. Le recruteur ne doit pas également se laisser influencer par les petits détails négatifs sur son employé. Il ne doit pas toujours se fier à l’approche comparative entre les candidats qu’il reçoit. Sa bonne humeur aide aussi le postulant, elle le motive et l’amène à montrer le meilleur de lui-même. Et pour finir, un bon employeur ne doit pas séduire aux séductions. Votre entreprise n’a pas besoin des charmeurs, mais plutôt de compétences. Donc, faites beaucoup attention chers employeurs.

Facebook
Pinterest
Twitter
LinkedIn
Email
Commentaires