La jeunesse est une étape très cruciale dans l’existence humaine. Elle est pleine de faits divers qui attirent l’attention sur divers plans. Dans cette production, vous découvrirez 10 faits incroyables sur la jeunesse.
10. La jeunesse est plus poussée vers le désir d’autonomie

Votre adolescent est biologiquement programmé pour vouloir l’indépendance. Cela peut conduire à un acte de rébellion destiné à désobéir aux parents. Mais il s’agit d’une altération biologique du cerveau qui affecte tous les animaux, pas seulement les humains.
Chaque animal doit se séparer de sa famille. Par exemple, cette période dure environ 30 jours chez le rat et la souris. Il est nécessaire de créer sa propre identité, de former un groupe d’affiliation, de s’engager dans des expériences et d’enquêter.
Du coup, dans notre âge de fleur, nous sommes tous tentés par l’envie irrésistible de devenir autonomes. Quoi qu’on dise, c’est une réaction presque inévitable puisque nous avons l’envie d’évoluer parfois à notre guise.
9. La jeunesse aime prendre des risques

Votre jeune enfant est plus susceptible d’adopter des comportements à risque, surtout s’il est entouré d’amis. De nombreux exemples montrent à quel point ils sont sensibles à l’influence des groupes. Ils sont confrontés à l’usage du tabac, la consommation excessive d’alcool, la consommation de drogues et la conduite imprudente. Vous verrez qu’ils ne font pas ces choses par eux-mêmes. Lorsqu’ils sont avec leurs amis, ils prennent ces risques.
Par ailleurs, le fait d’expérimenter tout ce dont on parle est presque inscrit dans le gène de la jeunesse. Elle aime sonder d’autres horizons afin de prouver ce dont il est capable, que cela soit à grand risque ou non.
8. Le rythme de sommeil est différent chez les jeunes

Les adolescents connaissent un changement dans les rythmes circadiens. Pour les adultes, la mélanine, le produit chimique qui nous aide à nous endormir, est produite à l’aube lorsque la lumière diminue. Ils sont plus éveillés la nuit et ne veulent pas se réveiller le matin, car elle est produite plus tard à la puberté.
7. La jeunesse n’a pas entièrement un mental assez fort

Votre enfant jeune peut ressembler à un adulte, mais cela ne signifie pas que son cerveau fonctionne de la même manière. Selon Blakemore, l’un des aspects les plus difficiles de la jeunesse est le fait que les autres attendent des choses différentes de vous pendant cette période puisque vous n’avez pas la maturité et la capacité mentale d’un adulte. Or, le cerveau se développe très soigneusement pendant l’adolescence et dans la vingtaine. Il utilise la capacité de planification, la capacité de prise de décision, la conscience de soi et la retenue.
6. Les jeunes ont besoin d’un soutien de la part d’un expérimenté

Vos efforts pour aider votre adolescent ont été rejetés ? Il est possible que vous le preniez mal. La meilleure façon, selon Blakemore, est de les aider à trouver leurs propres réponses. Leur cerveau en développement a besoin de temps pour se développer afin de soutenir leur planification et leur prise de décision, la compréhension est donc très utile.
Ce dont vous avez besoin pour booster un jeune homme, c’est de lui montrer la pertinence des idées. Au fil du temps, il aura la confiance en lui-même, et pourra bien fonctionner à sa guise pour réussir sa vie.
5. La jeunesse est très sensible aux critiques

Quand les enfants sont jeunes, ils imitent généralement ce que disent leurs parents. Cependant, lorsqu’ils vieillissent, cela peut être difficile pour les parents. On ne sait pas vraiment comment on va réagir, donc on se projette peut-être. En conséquence, nous sommes mécontents de leur comportement. Essayez de maintenir votre détermination pendant qu’il traverse cette étape de transition et cherche de l’aide.
Si à la moindre des choses, vous vous mettez à crier sur les jeunes ou à les critiquer sévèrement, ce ne sera pas agréable à leurs yeux. Si vous continuez sur cette lancée, vous leur ferez perdre la confiance en eux-mêmes. Ainsi, ils peuvent faire choir beaucoup de projets prometteurs.
4. La jeunesse est le socle de la violence

La jeunesse, comme on le dit toujours, est pleine d’énergie. Mais si on n’arrive pas à canaliser cette force intense à des fins utiles, cela donne lieu à des catastrophes. Mais après tout, tout est une affaire d’éducation et de l’atmosphère tendue ou détendue dans laquelle chacun a été élevé.
Frustrés par l’oisiveté et le manque de moyens, les jeunes organisent souvent des assemblées ou fondent des groupes malveillants. C’est ce qui donne lieu à des soulèvements et à des braquages.
3. Les jeunes meurent des chocs psychologiques

Beaucoup de personnes pensent que les morts précoces et prématurées de la jeunesse sont due aux maladies mortelles. Mais, ce n’est pas tout à fait vrai puisqu’il existe de multiples causes qui en sont la base. Il s’agit bien évidemment des chocs psychologiques comme les déceptions amoureuses, les complexes d’infériorité et le manque de succès. Tout cela crée une dépression chronique qui ronge les jeunes et crée parfois leur mort.
2. La sexualité reste le socle du déclin de la couche juvénile

Quoiqu’on dise, mis à part l’alcoolisme et les actes ignobles, la sexualité reste un poison fatal pour la jeunesse. Quittant fraîchement les griffes de la puberté qui les tourmente, ils font tout pour assouvir leurs désirs libidineux. Ce faisant, ces derniers investissent non seulement le peu qu’ils ont, mais s’endettent également.
En outre, avec les maladies sexuellement transmissibles, ils se détruisent avec le plaisir d’une nuit. Sans se rendre compte de ce poison lent, la jeune génération se tue à petit feu.
1. La jeunesse est menacée par les grossesses précoces

Chaque année, dans les régions en développement, on compte au moins 777 000 jeunes filles de moins de 15 ans et environ 12 millions de filles âgées de 15 à 19 ans. Au niveau mondial, les problèmes de grossesse et d’accouchement figurent parmi les principales causes de décès chez les jeunes filles âgées de 15 à 19 ans. En 2020, la répartition de la population des Nations Unies fixait le taux de natalité mondial des adolescentes à 41 pour 1000. Il y avait des taux nationaux allant de 1 à 200 naissances pour 1000 jeunes filles. Cet effectif a diminué depuis 1990. Cette baisse va de pair avec la baisse du taux de mortalité maternelle chez les jeunes femmes de 15 à 19 h.